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Satori

Satori

À Paris
En June 2012
C'était l’été
Ref 310.13

Nous sommes nombreux dans une salle de pratique de yoga. Je suis dans une position face au reste des hommes, mais une autre personne plus influente, plus indiquée par ses vêtements, son âge et sa barbe, dirige la pratique.

Une femme assez vieille rentre, visiblement étrangère au groupe et au yoga (son corps, ses vêtements). Elle paie le Maître pour qu’il joue une pratique pour elle. Le Maitre, accoudé à une statue de la vierge, accepte et propose un Je-vous-salue-Marie. Tout le monde s’assoit très vite et nous nous rendons compte que le maître joue la pratique pour tous, mais alors qu’elle est habituelle gratuite, il fera cette fois-ci payer la dame : nous pratiquons ensemble ce que la dame à en fait payé pour nous.

Les paroles du Maître sont si rapides et si inarticulées qu’il est difficile de le suivre. Cela me laisse penser que nous entrons dans une boucle car, à cette vitesse, il ne pourra pas y avoir qu’un seul je-vous-salue, cela serait trop peu pour l’argent de la dame. Je ferme les yeux et rentre dans la pratique.

Soudain une activation involontaire des muscles de mon cou se produit ; ma tête souhaite pivoter. Après un réflexe de resistance, je décide de céder, jugeant que c’est là le but de la pratique. Mon cou est alors animé de droite à gauche, parfois par saccade, sans que je ne veuille rien ; il arrive que je craigne qu’on souhaite me le briser. Quelqu’un possède désormais mon cou.

Au réveil me reste l’idée “je dois avoir un problème de cou”.

Rêvé à Rameau le 8/11/13

Père Berçons

Père Berçons

En May 2012
C'était le printemps
Ref 306.2

"Et lorsque l'adversité viendra (je ne dis pas "si" elle vient, car elle viendra), je voudrais donner ce conseil aux hommes et aux femmes qui s'impliquent dans le mariage. Je voudrais leur donner le conseil de s'asseoir l'un à côté de l'autre, et de regarder dans la même direction, devant, et de parler. Pas de s'asseoir l'un en face de l'autre pour parler, parce que lorsqu'on regarde les gens en face, on les regarde aussi souvent avec un peu de confrontation, un peu d'adversité. De s'asseoir à côté l'un de l'autre, et de regarder dans la même direction, et de parler, pour continuer de prendre le même chemin, même s'il est broussailleux, pour parler de ce qu'on voit, devant, et qui s'approche en commun."